Publié le 12 février 2013
Au printemps, le maïs nécessite une application d’engrais de démarrage importante. Tant au niveau de la position des éléments que de leur rôle. Il est déjà établi que le phosphore (P) a ses exigences. Il doit être près de la semence et en totalité. Il en va du bon déroulement de la croissance des plants. Le P est un nutriment qui voyage très lentement dans le sol. Quand il aura parcouru un pouce, ce sera une grande distance. Donc, s’il n’est pas près des grains, il y a de forte chance que les racines ne puissent pas l’atteindre en cours de croissance. Parfois, les recommandations de fertilisation demande plus de 80 unités de phosphore à l’hectare. Ajoutez 50 unités d’azote (N) et 50 unités de potassium (K) et vous avez des doses de plus 450 kg/ha de démarreur. Si cela devient impossible à appliquer, vous ne devriez pas passer sous les 40 unités de N et 30 unités de K. Le phosphore est maintenu à 80 unités. Il est tout de même possible de comblé la différence en post-levé ou en pré-semi pour maintenir la fertilité du sol et assurer de bon rendement. Cette année, la Coop a introduit le MESZ, un ingrédient comptant du phosphore du zinc et du souffre. Un grand avantage de ce produit est qu’il vous permet d’être encore plus précis dans l’application des engrais de démarrage.
Parlez-en à votre expert-conseil. 450-759-4041 ou 1 800 363-1768
Ou Stépĥane Galarneau t.p. Expert-conseil végétal @StefGalarneau et Pierre-Luc Brouillette, agr. Coordonnateur en agriculture durable @PLBrouillette de La Coop Novago
La bonne position, le bon produit, le bon rendement.
Par Stéphane Payette, t.p. Expert-conseil végétal, en collaboration avec Pierre-Luc Brouillette, agr. de La Coop Novago
